mercredi 24 avril 2013

Véhicules non protégés: coûts et effets








  Véhicules non protégés: coûts et effets



Mercredi 24/04/2013



 Voici un papier révélateur sur les causes de la corrosion sur les véhicules moteurs ainsi que les dommages que cela cause sur des véhicules moteurs non protégés.
Quelles sont les conséquences de ce phénomène que nous enlève le plaisir de posséder un véhicule et comment ce phénomène affecte tous ceux qui possèdent des véhicules moteurs neufs ou presque neufs, moyennement usagers, très usagés et sur la fin de vie?
 En 1er lieu : ce ne sont pas les fabricants ni les concessionnaires qui sont responsables de ce phénomène.
 Au cours des 60 dernières années, la population a presque doublée; la population des véhicules moteurs, les autobus, les trains, les avions et les équipements industriels ont presque quadruplé et les puissances de motricité ont quintuplées.

La croissance des édifices commerciaux, des commerces de quartier et de foyers  domestiques se sont répandus en très grand nombres exigeant des véhicules moteurs pour se déplacer.       
La qualité de l’environnement s’est constamment dégradée malgré le très grand nombre de changements apportés à nos méthodes de chauffage dans les grandes villes.

L’industrie créant une atmosphère polluée et amplifiée dans un climat sévère comme le nôtre consumant de l’énergie pour se chauffer, de l’énergie pour se déplacer, de l’énergie pour construire des maisons, des usines, des bâtiments et des édifices toujours plus hauts qui consomment aussi plus d’énergies.

Nous devons aussi construire des routes et des ponts, et nous devons les entretenir et s’assurer que les 5.000.000 de véhicules qui se déplacent chaque jour puissent se rendre à leur destination dans un maximum de sécurité et dans un minimum de temps.     


C’est à partir de là que le problème commence et c’est dans la suite des choses que l’on voit le comportement de la nature humaine y jouer un très grand rôle.
Le 1er en cause est l’usager qui s’achète un véhicule neuf
Le 2e en cause est l’usager qui s’achète un véhicule presque neuf
Le 3e en cause est l’usager qui s’achète un véhicule presque usagé
Le 4e en cause est l’usager qui s’achète un véhicule usagé et ainsi de suite

La grande majorité de ces usagers ne gardent pas le véhicule longtemps et ne le font pas protéger avec un antirouille de qualité de longue durée; certains font faire le stricte nécessaire "C’est combien?", et par la suite répète là où c’est nécessaire, mais aucun entretien tel que recommandé par le fabricant ou dans le code Canadien Anticorrosion.

"Je n’ai pas le temps. Je connais rien là-dedans".

Pour eux l’entretien c’est un lavage rapide et occasionnellement un nettoyage intérieur quand on ne retrouve plus nos gants sur les sièges…


Et la chose se répète par groupe de cycles de 4 ou 5 ans d’âges et l’on se rend jusqu’à la 10e, 12e ou 15e année parfois le véhicule a eu 5 à 6 propriétaires qui répètent le même scénario.
Étant toujours très pressés comme il est indiqué en haut (ils n’ont pas le temps…), c’est plus avantageux pour eux de payer la facture et ne pas s’arrêter à ces détails.

L’entreprise Eonizer, depuis 1963, a été la 1ère entreprise au Canada à introduire un procédé de protection longue durée lui permettant de réaliser des grands succès et d’être aujourd’hui encore en affaire.

Silencieuse au cours des derniers 15 années, en 1985, Eonizer n’était pas en accord avec les protections disponibles sur le marché.

La direction d’Eonizer avait la ferme conviction que les connaissances qu’elle avait acquises au cours des années lui permettaient d’axer son orientation sur la recherche et le développement de nouveaux systèmes conformes aux nouvelles tôles et méthodes de fabrication pour offrir aux usagers un ensemble de protections adaptées aux réalités de notre climat.   


Parmi les recherches entreprises ces dernières années, fut la compilation des coûts associés avec ce genre de comportement. Et les résultats ont fait ressortir la surprenante constatation selon laquelle nous faisions la plus grande découverte des coûts réels que doivent subir les usagers d'automobile dans notre climat extrêmement sévère. 

Les frais associés avec ce genre de comportement coûtent aux usagers de posséder un véhicule non protégé adéquatement 20 fois plus cher qu'il en coûterait pour le protéger.

(Après un si grand nombre d'années de recherches, nous sommes peinés de constater de ne pas être mis au courant comme vous d'une si grande perte subie par les consommateurs décrits plus haut).


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